Centre d'accueil des visiteurs

Le Centre d'accueil des visiteurs, situé à la Porte 1 du Centre International de Vienne (CIV), a ouvert ses portes en août 1998. Il a élargi ses activités lorsqu'il est devenu évident que le CIV devait s'ouvrir au public et devenir un élément à part entière de la ville de Vienne. Les Nations Unies ont donc contribué au financement de la construction du Centre, en prenant à leur charge l'agrandissement des locaux de la Porte 1.

Le Rapport du Secrétaire général intitulé « Rénover l'Organisation des Nations Unies: un Programme de réformes », de 1997, a confirmé la nécessité d'ouvrir un centre d'accueil des visiteurs. L'Office des Nations Unies à Vienne a donc tout fait pour favoriser la concertation avec la Ville de Vienne ainsi qu'avec la Chambre de commerce et ainsi, rapprocher les Nations Unies du grand public et du secteur privé.

Pour que le public puisse concrètement se rapprocher des Nations Unies, les fondateurs du Centre d'accueil des visiteurs ont voulu faire de celui-ci:

  • Une source d'information: le Service de l'information de l'ONU tient un comptoir offrant des produits d'information et la possibilité de s'inscrire aux  visites guidées du CIV.
  • Un endroit où le public peut facilement avoir accès aux produits des Nations Unies: il est possible d'acheter des timbres au guichet de l'Administration postale de l 'ONU, des souvenirs des Nations Unies au comptoir du Conseil du personnel de l'ONU, des cadeaux et des produits artisanaux à celui de la Guilde des femmes de l'ONU ainsi que des cartes de voeux au comptoir du Fonds des Nations Unies pour l'enfance  (UNICEF).
  • Un espace consacré aux services: café, salon de coiffure ou fleuriste. Les recettes perçues grâce à ces services commerciaux permettent au Centre d'accueil de s'autofinancer.

D'autres aménagements ont été apportés au Centre d'accueil des visiteurs en 2000. D'ailleurs, le Centre a été récompensé par le Prix « L'ONU au XXIe siècle » pour avoir grandement contribué à rapprocher les Nations Unies du grand public, tout en respectant le principe d'autofinancement par des activités lucratives.